En mars 2025, nous commencions une négociation sur la Gestion des Emplois et Parcours Professionnel. C’est une négociation obligatoire.
Voici ci-dessous les revendications que la CGT avait portées, construites à partir de vos remontés.
Smile n’avait l’intention de rien
Nous sentions les choses arriver, elles n’ont pas raté. La dernière réunion de négociation syndicale du 16 septembre 2025 étais claire. Aucune des revendications de la CGT ne serait ni accepté, ni discuté. Alors que la CGT était prêtes à faire un travail de fond pour négocier chaque élément.
C’est assez simple, la Direction venait avec une proposition, leur parcours professionnel déjà présenté aux salarié·e·s, et souhaitait que la CGT le valide sans rien d’autre en échange.
Rappelons que la CGT n’a rien refusé des propositions de la Direction.
La CGT aurait pu être en phase avec son contenu, mais rappelons que le principe d’une négociation, c’est que les deux parties fassent des compromis afin de se mettre d’accord. Ici, Smile n’a même pas essayé de faire de compromis. Même sur les éléments directement concernés et décrit par le code du travail.
On nous a répondu :
On n’arrive pas à vous faire de contre-proposition.
Pourtant, ça ne semble pas si difficile que cela à imaginer.
Une stratégie de blocage
Que ce soit sur la négociation, sur la communication, ou celle-ci, c’est à se demander à quoi joue la Direction ?
Un des objectifs est clair, délégitimer la CGT. Or, nous sommes parfaitement légitimes, que ce soit aux yeux du droit (via les élections), ou au regard des collègues (via notre travail de terrain et d’accompagnement).
Nous accompagnons plusieurs collègues par mois, soit à des procédures de licenciements abusives (oui, Smile vire toujours les intercontrats sans aucun cadre réglementaire), des pressions pour accepter des Ruptures Conventionnelle, des Ruptures de Période d’Essais, du conseil en tout genre, etc.
C’est bien cela qui dérange, nous faisons bien notre travail !
La réponse est sans appel, d’autant plus quand nous rendons des comptes aux salarié·e·s via nos articles. En réaction, la Direction bloque tout !
Ce que la Direction oublie, c’est que ce n’est pas en nous bloquant que cela va nous fera changer, ni nous, ni les salarié·e·s, d’opinion sur leur manière de traiter le dialogue sociale.
La CGT Smile reste dans la discussion dans l’intérêt des salarié·e.s.
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